Concours bovins
Amélie privée de régional Prim’Holstein
Concours bovins
Elle aurait du être du voyage mais Amélie, suite à un vêlage difficile, a du déclarer forfait. Elle ne participera donc pas au régional Prim’Holstein qui se tiendra dans quelques jours en Seine-Maritime. Déception au GAEC des Vents d’Ouest dans l’Orne.

Jean-François Cailly : “se prendre au jeu des concours, c’est remonter aussi le niveau global de son élevage”.
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TG
La vie de bête de concours n’est pas une sinécure. Celle d’éleveurs de bêtes à concours non plus. Jean-François Cailly et Christophe Chatel, associés au sein du GAEC des Vents d’Ouest à St-Didier-sous-Ecouves (Orne) en savent quelque chose. Il y a quelques semaines encore, ils fondaient leur espoir de médaille sur Amélie (Schottle X Lounge), une jeune espoir Prim’Holstein qui s’était déja fait remarquer à l’occasion du départemental.
Complications au vêlage
Amélie aurait du être du voyage en Haute-Normandie, pré-sélectionnée avec une trentaine de ses congénères ornaises. Mais pleine de jumelles, elle a vêlé avec 8 jours de retard. Problème de non délivrance, épuisement, déshydratation (...), elle s’est mise hors-jeu au grand dam de nos éleveurs. “Bien sur que c’est une grande déception que de ne pas participer au régional mais Amélie n’était pas présentable”, reconnaît Jean-François Cailly. Et pas d’autres vaches de niveau régional au sein de l’élevage. Le GAEC des Vents d’Ouest n’est pas encore une grosse écurie. “On apprend peu à peu”, avouent humblement les deux associés. L’élevage n’adhère à l’UPRA que depuis 2001 et à l’association Prim’Holstein de l’Orne que depuis 4 ans. Tout juste une paille ou plutôt une paillette à l’échelon d’une vie de sélectionneur.
Se prendre au jeu
C’est Chritophe, installé avec Jean-François suite à un contrat de parrainage, qui a mis le petit doigt du GAEC dans l’engrenage bien sympathique des concours. Ses différents stages dans d’autres exploitations laitières l’ont conduit sur les tarmacs. Jean-François a suivi. “On se prend au jeu, il y a une super ambiance et ça nous donne l’occasion de communiquer. Ça nous permet aussi de savoir ce qu’il faut améliorer”, justifie-t-il. Et au GAEC des Vents d’Ouest, c’est la morphologie que l’on cherche à optimiser : “des vaches plaisantes à traire avec des mamelles fonctionnelles. ” Un travail d’équipe et de longue haleine, c’est ça, la génétique. “On apprend avec le temps” avec à demi-mot l’espoir un jour de scorer au SPACE ou à Paris. Une autre dimension économique que le GAEC espère bien tutoyer un jour.
Complications au vêlage
Amélie aurait du être du voyage en Haute-Normandie, pré-sélectionnée avec une trentaine de ses congénères ornaises. Mais pleine de jumelles, elle a vêlé avec 8 jours de retard. Problème de non délivrance, épuisement, déshydratation (...), elle s’est mise hors-jeu au grand dam de nos éleveurs. “Bien sur que c’est une grande déception que de ne pas participer au régional mais Amélie n’était pas présentable”, reconnaît Jean-François Cailly. Et pas d’autres vaches de niveau régional au sein de l’élevage. Le GAEC des Vents d’Ouest n’est pas encore une grosse écurie. “On apprend peu à peu”, avouent humblement les deux associés. L’élevage n’adhère à l’UPRA que depuis 2001 et à l’association Prim’Holstein de l’Orne que depuis 4 ans. Tout juste une paille ou plutôt une paillette à l’échelon d’une vie de sélectionneur.
Se prendre au jeu
C’est Chritophe, installé avec Jean-François suite à un contrat de parrainage, qui a mis le petit doigt du GAEC dans l’engrenage bien sympathique des concours. Ses différents stages dans d’autres exploitations laitières l’ont conduit sur les tarmacs. Jean-François a suivi. “On se prend au jeu, il y a une super ambiance et ça nous donne l’occasion de communiquer. Ça nous permet aussi de savoir ce qu’il faut améliorer”, justifie-t-il. Et au GAEC des Vents d’Ouest, c’est la morphologie que l’on cherche à optimiser : “des vaches plaisantes à traire avec des mamelles fonctionnelles. ” Un travail d’équipe et de longue haleine, c’est ça, la génétique. “On apprend avec le temps” avec à demi-mot l’espoir un jour de scorer au SPACE ou à Paris. Une autre dimension économique que le GAEC espère bien tutoyer un jour.