Orne
Concours Charolais : taux de participation historique
Orne
Le concours d’Alençon est devenu une référence pour le bassin du Grand-Ouest. Le syndicat de la race récolte le fruit de plusieurs années de travail.

Avec 36 éleveurs et 177 animaux de 7 départements différents, jamais le concours charolais d’Alençon n’avait connu un tel engouement. “Cela fait quelques années que le concours d’Alençon est reconnu parmi la vingtaine de grands concours nationaux de la race, observe Hugues Bonhomme, éleveur au Chesne et secrétaire du syndicat des éleveurs charolais de l’Orne.
“Aujourd’hui, on récolte le fruit du travail du syndicat qui a poussé à faire d’Alençon le grand rendez-vous de la race dans le bassin du grand-Ouest, renchérit Jean-Pierre Dollion, vice-président et éleveur à La-Petite-Noë. C’est ici que s’opèrent les sélections pour pouvoir participer à la finale nationale, au Super championnat de Moulin dans l’Allier, en fin d’année”.
Les éleveurs de l’Orne réunis jeudi 27 septembre sur la ferme de Jean-Pierre Dollion étaient unanimes. Ils viennent participer à Alençon pour évaluer la qualité de leurs animaux, mais aussi pour se faire connaître, et partager un grand moment
de convivialité avec les autres
éleveurs. Assurément, c’est le mélange de ces trois choses qui fait que les éleveurs continuent de venir, de plus en plus nom-
breux.Jean-Pierre Dollion
“Chaque année je participe au concours”
“La charolaise est une race qui s’adapte bien à notre région. J’avais commencé avec une autre race, mais j’ai rapidement changé pour celle-ci, explique Jean-Pierre Dollion, vice président du syndicat des éleveurs de charolais de l’Orne. Aujourd’hui, je suis dans un système naisseur-engraisseur, avec 70 vaches inscrites au Herd-book. Quand j’ai des animaux de qualité, j’essaye de les vendre comme reproducteurs. Je ne fonctionne qu’avec l’insémination artificielle, en recherchant prioritairement la production laitière et le format”. Passionné de concours depuis plusieurs années, celui d’Alençon est le rendez-vous incontournable de l’année pour Jean-Pierre. Cette année, il présentera une sélection de dix animaux.
“Quand on fait de la génétique, c’est important de venir participer aux concours, pour se faire connaître. Mais on vient aussi pour le plaisir. S’il n’y avait pas ce côté là, il y aurait beaucoup moins d’inscrits”.
“Aujourd’hui, on récolte le fruit du travail du syndicat qui a poussé à faire d’Alençon le grand rendez-vous de la race dans le bassin du grand-Ouest, renchérit Jean-Pierre Dollion, vice-président et éleveur à La-Petite-Noë. C’est ici que s’opèrent les sélections pour pouvoir participer à la finale nationale, au Super championnat de Moulin dans l’Allier, en fin d’année”.
Les éleveurs de l’Orne réunis jeudi 27 septembre sur la ferme de Jean-Pierre Dollion étaient unanimes. Ils viennent participer à Alençon pour évaluer la qualité de leurs animaux, mais aussi pour se faire connaître, et partager un grand moment
de convivialité avec les autres
éleveurs. Assurément, c’est le mélange de ces trois choses qui fait que les éleveurs continuent de venir, de plus en plus nom-
breux.Jean-Pierre Dollion
“Chaque année je participe au concours”
“La charolaise est une race qui s’adapte bien à notre région. J’avais commencé avec une autre race, mais j’ai rapidement changé pour celle-ci, explique Jean-Pierre Dollion, vice président du syndicat des éleveurs de charolais de l’Orne. Aujourd’hui, je suis dans un système naisseur-engraisseur, avec 70 vaches inscrites au Herd-book. Quand j’ai des animaux de qualité, j’essaye de les vendre comme reproducteurs. Je ne fonctionne qu’avec l’insémination artificielle, en recherchant prioritairement la production laitière et le format”. Passionné de concours depuis plusieurs années, celui d’Alençon est le rendez-vous incontournable de l’année pour Jean-Pierre. Cette année, il présentera une sélection de dix animaux.
“Quand on fait de la génétique, c’est important de venir participer aux concours, pour se faire connaître. Mais on vient aussi pour le plaisir. S’il n’y avait pas ce côté là, il y aurait beaucoup moins d’inscrits”.