Témoignage : de 160 à 200 vêlages/an avec Calf Lyte® Plus pour veaux
«Nous sommes à 160 vêlages par an mais nous allons bientôt passer à 200». À Heauville, dans le nord Cotentin (50), Hubert Guérin et ses associés du GAEC de La Rabasserie sont très pointilleux dès lors qu’il s’agit de l’élevage des veaux.


Dans cette étable de race Normande habituée des concours et à très haute valeur génétique, on sait que tout retard de croissance au démarrage constitue un préjudice au potentiel futur de la laitière. «Notre objectif est d’atteindre les 200 kg à 6 mois d’âge», insiste notre éleveur. Pour contrer les troubles digestifs et autres diarrhées et sur les conseils de leur vétérinaire, Docteur Delavenne, le GAEC a essayé un nouvel aliment complémentaire diététique pour veaux : Calf Lyte® Plus. Essayé et adopté depuis.
«On élève nos veaux au lait naturel, un lait très riche, qui peut favoriser quelques troubles digestifs, reconnaît Hubert Guérin. La période humide, de janvier à mars, est également propice au phénomène alors on peut être amené à traiter beaucoup d’élèves en même temps». Calf Lyte® Plus est également utilisé à l’occasion des transitions. «C’est très facile d’utilisation. Il suffit de dissoudre 1 sachet de 90 grammes dans 2 litres d’eau tiède (37oC environ) 2 ou 3 fois par jour. Même pas besoin de touiller pour bien mélanger», apprécient les éleveurs normands.
Quant à la durée d’utilisation, elle varie : 1 à 7 jours si le produit est utilisé en complément du régime alimentaire normal et 1 à 3 jours s’il est utilisé seul suivi d’une journée de transition associant les deux régimes.
«Après une année d’utilisation, je reconnais que c’est un produit très efficace», parole d’éleveur. Et qu’en pense le principal utilisateur ? A voir les veaux s’approcher rapidement du cornadis quand Hubert arrive avec son seau, on comprend vite que l’appétence est l’atout complémentaire du Calf Lyte® Plus. Reste le prix. «Pas gratuit mais pas plus cher qu’un autre produit pour un résultat très satisfaisant. Vous connaissez le coût d’un mauvais démarrage d’un élève ?», interroge en guise de conclusion Hubert Guérin.
Composition : dextrose (60,5%), acétate de sodium (18,3%), chlorure de sodium, chlorure de potassium, phosphate monosodique, phosphate dipotassique, poudre de protéines de lait (dont la lactoferrine 0,1%), sucre caramélisé. Source d’hydrates de carbone : Dextrose.