Avec PACIFICA (Crédit Agricole)
Un bâtiment de stockage reconstruit à l'identique, mais sur un autre site
Le Crédit Agricole apporte une solution auprès de ses clients professionnels (exploitants agricoles, artisans et commerçants) en assurances dommages par l'intermédiaire de sa filiale PACIFICA depuis 2003. Exemple concret dans la Manche.
Mars 2013 : épisode neigeux sur le département de la Manche. Les toitures, et plus particulièrement celles des bâtiments agricoles, sont soumises à rude épreuve. C'est le cas au GAEC Lecoffre, une exploitation lait - viande- céréales dont le siège est à Bricquebec. Le 12 mars, les 4 associés ne peuvent que constater les dégâts. Leur bâtiment de stockage de 150 m2 s'est effondré sous le poids de la neige.
Un rendez-vous dans la journée
Coup de téléphone immédiat au service "gestion des sinistres" de PACIFICA. La filiale "assurances dommages" du groupe Crédit Agricole mandate alors un expert qui fixe un rendez-vous terrain dans la journée. L'expertise est réalisée deux jours plus tard. Les devis sont immédiatement lancés. Deux mois après le sinistre, le bâtiment est reconstruit, à l'identique, mais pas au même endroit. "Beaucoup d'assurances n'acceptent pas la reconstruction sur un autre site, nous si.C'est une de nos spécificités", explique Alain Gohin, conseiller assurance professionnelle PACIFICA.Au cours de cette période, il a eu avec ses collègues non loin de 200 sinistres à gérer à 80 % dans le Cotentin. Autant de situations différentes auxquelles il a fallu apporter une réponse adaptée à l'urgence de la situation.
Attention aussi à la perte d'exploitation
Au-delà du sinistre et de la perte matérielle d'un bien, une perte d'exploitation prolongée (jusqu'à 24 mois couverts chez PACIFICA) peut remettre en cause la pérennité d'une entreprise ."D'où l'importance de bien connaître nos clients et leurs besoins", insistent Catherine Lerossignol Delaroque et Philippe Lepelletier, respectivement directrice de l'agence Crédit Agricole de Bricquebec et chargé d'affaires agricoles sur le secteur Bricquebec/Valognes/Montebourg."Nous les rencontrons au moins une fois par an pour réaliser une analyse approfondie de la situation et éventuellement réactualiser les risques à couvrir".
Un équipement en robot de traite, un nouveau tracteur, un accroissement du cheptel, un nouvel associé (...), autant d'éléments qui changent la donne et qui doivent être intégrés pour une bonne couverture assurantielle. Le réseau Crédit Agricole, avec son maillage de proximité et son expertise reconnue dans le secteur agricole, permet de répondre à la multiplicité des situations.
"Concernant la multirisque agricole, nous proposons une réelle indemnisation en valeur à neuf des bâtiments, quel que soit l'évènement y compris en cas de tempête", insiste Alain Gohin. Les frais de déblais et démolition sont indemnisés sans plafond même en cas de désamiantage".
PACIFICA fait également du sur-mesure au niveau des automoteurs. "Indemnisation en valeur à neuf pendant 2 ans, voire 5. Prise en charge des dommages aux pneus sans limite de vétusté (tracteur et remorque). Garantie du conducteur incluse dans toutes les formules jusqu'à 1 Me dès 1 % d'invalidité", avance notre conseiller entre autres arguments. Et de conclure : "le Crédit Agricole apporte une solution auprès de ses clients professionnels (exploitants agricoles, artisans et commerçants) en assurances dommages par l'intermédiaire de sa filiale PACIFICA depuis 2003. Nous disposons pour cela d'une équipe d'assureurs dédiés à ce métier composée de 19 personnes sur tout le territoire bas-normand et épaulée par une équipe du siège. Les sinistres sont directement déclarés auprès des gestionnaires de sinistres qui peuvent agir sur l'ensemble du territoire national et gérer conjointement entre le client, le gestionnaire et le collaborateur sur le secteur. Nous pouvons apporter une solution d'assurance dans tous les métiers du monde agricole (polyculture, horticulture, aquaculture, hors-sol, élevage, centre équestre".Un message qu'adresse particulièrement aux jeunes Alain Gohin, plus fragiles économiquement et qui ont donc encore moins le droit à l'erreur.