Vachement Caen, c’est beaucoup d’organisation mais des éleveurs positifs
Dans deux semaines, les éleveurs du département seront sur le pont. L’événement Vachement Caen a pour ambition de réunir une centaine d’animaux, dimanche 11 septembre, dans l’hyper centre-ville de Caen. Au-delà d’une opération de communication positive, le rendez-vous sera l’occasion de présenter le concours régional Charolais. Un projet qui se prépare collectivement, en amont. Questions à Mathilde Allyndree, animatrice de races pour les Chambres d’agriculture de Normandie.
Dans deux semaines, les éleveurs du département seront sur le pont. L’événement Vachement Caen a pour ambition de réunir une centaine d’animaux, dimanche 11 septembre, dans l’hyper centre-ville de Caen. Au-delà d’une opération de communication positive, le rendez-vous sera l’occasion de présenter le concours régional Charolais. Un projet qui se prépare collectivement, en amont. Questions à Mathilde Allyndree, animatrice de races pour les Chambres d’agriculture de Normandie.
Depuis combien de temps travaillez-vous sur l’événement ?
Depuis mon arrivée [en mars 2022 NDLR], j’ai été associée au projet, mais sur la partie animale. J’ai suivi les premières réunions d’organisation, mais je suis surtout sur le concours Charolais [voir interview de Stéphane Labarrière, président du syndicat des éleveurs de Charolais dans l’édition du 4 août]. C’est mon rôle, en tant qu’animatrice du syndicat de préparer ce temps fort.
Un tel concours, ça s’anticipe comment ?
C’est beaucoup d’organisation en amont. On a sollicité tous les présidents de syndicats de races du Calvados via des courriers officiels. On a essayé de bien faire les choses avec Vincent Lecoq et Pascal Sauget de Littoral normand qui m’aident énormément car ils connaissent bien les éleveurs. Pour le volet sanitaire, on s’organise avec le GDS pour les certificats.