Filière avicole
Races normandes : la poule de Gournay, le petit plus chez Gaël
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La poule de Gournay, mi-Viking, mi-normande, cohabite avec des races plus modernes. Gaël Croquevielle, éleveur de volaille à Notre-Dame-de-Courson, non loin de Livarot, en élève 1 300 par an. Nous l'avons rencontré vendredi 26 juillet 2024.
La poule de Gournay, mi-Viking, mi-normande, cohabite avec des races plus modernes. Gaël Croquevielle, éleveur de volaille à Notre-Dame-de-Courson, non loin de Livarot, en élève 1 300 par an. Nous l'avons rencontré vendredi 26 juillet 2024.
Gaël Croquevielle s'est lancé dans la volaille en 2016.
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La ferme Galobio mise sur le bio et le local.
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Gaël se rend au marché de Honfleur le mercredi et celui de Trouville le samedi.
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Gaël Croquevielle élève 1 300 Gournay par an.
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"J'ai pour conviction de produire bio et local, l'alimentation de mes volailles doit aussi être dans cet esprit-là."
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À Notre-Dame-de-Courson, dans le Pays d'Auge, les 400 arbres fruitiers (pommes, cerises, abricots, prunes...) de Gaël Croquevielle, protègent des prédateurs un élevage avicole de 8 000 volailles dont des poules jaunes cous nus et des Gauloises blanches à pattes bleues. Parmi elles, 1 300 poules de Gournay s'épanouissent dans les herbages de la ferme Galobio où elles sont valorisées en vente directe.
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