Bien dans ses bottes
Elodie Leclerc, agricultrice à Le Mesnilbus : un métier physique mais possible pour une femme
Bien qu’elle ne soit pas fille d’agriculteurs, Elodie Leclerc avait choisi l’horticulture pour ses études. Et c’est la filière veau de boucherie qui lui a ouvert les bras. Cette maman de trois enfants gère désormais avec son mari, Baptiste, un atelier de près de 650 places d’engraissement sur la commune de Le Mesnilbus, dans la Manche. Elodie explique son parcours, son métier, sa passion et ses engagements.
Bien qu’elle ne soit pas fille d’agriculteurs, Elodie Leclerc avait choisi l’horticulture pour ses études. Et c’est la filière veau de boucherie qui lui a ouvert les bras. Cette maman de trois enfants gère désormais avec son mari, Baptiste, un atelier de près de 650 places d’engraissement sur la commune de Le Mesnilbus, dans la Manche. Elodie explique son parcours, son métier, sa passion et ses engagements.
À 34 ans, Elodie Leclerc est une éleveuse épanouie. « J’adore ce que je fais », sourit-elle, au milieu de ses veaux. Effectivement, c’est dans cette filière qu’elle a décidé de s’investir. Au départ, elle était plutôt tentée par l’horticulture. C’est la voie de ses études avec un bac pro horticole. Son idéal aurait été d’être vendeuse en jardinerie. N’ayant pas trouvé, elle a changé de voie. Partie en usine pendant quelque temps, elle a décidé de prendre un nouveau virage.