Marchés au cadran
Sicamon : "Les marchés, alternatives pour les éleveurs"
La Société d'intérêt collectif agricole des marchés organisés de Normandie (Sicamon), exempte de faire appliquer la loi Egalim, voit une augmentation de 31 % de ses ventes depuis 2020, alors que le cheptel bovin français est en diminution. Elle poursuit son œuvre de fidélisation de nouveaux apporteurs.
La Société d'intérêt collectif agricole des marchés organisés de Normandie (Sicamon), exempte de faire appliquer la loi Egalim, voit une augmentation de 31 % de ses ventes depuis 2020, alors que le cheptel bovin français est en diminution. Elle poursuit son œuvre de fidélisation de nouveaux apporteurs.
Saint-Pierre-en-Auge et Soligny-la-Trappe.
"A la Sicamon, nous travaillons dur pour que les éleveurs ne ramènent pas leurs animaux chez eux à l'issue d'une vente", martèle Nicolas Séchet, coprésident de la Société d'intérêt collectif agricole des marchés organisés de Normandie (Sicamon). Depuis 2020, cette dernière peut se féliciter de voir ses ventes augmenter de 31 %, alors que le cheptel bovin français a diminué d'environ 7 %.
Lire aussi : Sicamon : Vente de Normandes de forme, lundi 11 mars 2024
Des conseils
Au marché au cadran de Lieurey, Saint-Pierre-en-Auge ou Soligny-la-Trappe, plus de 90 % des bovins présentés sont vendus dans la journée. Côtés ovins, la Sicamon frôle les 100 %. Cela grâce à une fidélisation des apporteurs comme des acheteurs.